(I’ve Had) the Time of my life
interprétée par Bill Medley & Jennifer Warnes
Dirty Dancing

Sortie : 1987
Réalisation : Emile Ardolino
Casting : Patrick Swayze, Jennifer Grey
Durant l’été 1963, les Houseman, une famille aisée de New York, séjournent à la pension Kellerman pour leurs vacances. La cadette de la famille, Frédérique, surnommée « Bébé », âgée de dix-sept ans, participe aux activités de loisirs avec ses parents et sa sœur aînée, Lisa. Timide et un peu maladroite, Bébé se retrouve par hasard plongée dans le quotidien des employés de la pension. C’est là qu’elle croise le chemin de Johnny Castle, un danseur charismatique et talentueux, qui travaille comme professeur de danse. Fascinée par cet homme et par l’univers de la danse, Bébé découvre un monde qui lui était jusque-là totalement inconnu, un monde qui va bouleverser sa vie.
Sortie en 1987, (I’ve Had) The Time of My Life est une chanson culte interprétée par Bill Medley et Jennifer Warnes. Elle est surtout connue pour être le titre emblématique du film Dirty Dancing, où elle accompagne la scène finale légendaire entre Johnny (Patrick Swayze) et Bébé (Jennifer Grey). Le morceau évoque un moment unique et inoubliable, où tout semble parfait. Il exprime le frisson de l’amour et la magie d’une connexion intense. Avec son énergie et sa montée progressive, la chanson devient un hymne à la joie, à l’amour et à la danse, incarnant parfaitement l’esprit du film.



Dans une scène mémorable, Johnny, qui a été renvoyé, revient pour clôturer la saison estivale en beauté. Alors que le spectacle a déjà commencé, il entre dans la salle, s’approche de la table des Houseman et, sous le regard désapprobateur du père de Bébé, déclare : « On ne laisse pas Bébé dans un coin ! » Il prend Bébé par la main et l’entraîne sur le podium. Une fois sur scène, Johnny interrompt le spectacle et annonce à l’assistance que Bébé a fait de lui une meilleure personne. Puis, sur les notes de (I’ve Had) The Time of My Life, ils exécutent la danse qu’ils ont répétée ensemble.Leur performance commence doucement, avant de monter en intensité.
Si tout le monde voyait Bébé comme une adolescente naïve, le public, ébahi, découvre une danseuse gracieuse et talentueuse. La chorégraphie atteint son apogée avec un porté aérien particulièrement vertigineux, devenu l’un des mouvements les plus mythiques du cinéma. L’assemblée entière est en admiration, captivée par la magie de ce moment.
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